ËûÕ¾ÆðÀ´
Il a mis son chapeau sur sa t¨ºte Ëû°Ññ×Ó´÷ÔÚÍ·ÉÏ
Il a mis son manteau de pluie Ëû´©ÉÏËûµÄÓêÒÂ
Parce qu¡¯il a pleuvait ÒòΪÌìÒÑ¿ªÊ¼ÏÂÓê
Et il a parti sous la pluie È»ºóËûÀ뿪ÁË£¬ÏûʧÔÚÓêÖÐ Sans une parole ûÁôÏÂÒ»¾ä»° Sans me regarder ҲûÓп´ÎÒÒ»ÑÛ
Et moi j¡¯ai pris ma t¨ºte dans ma main È»ºó£¬ÎÒµÄË«ÊÖÎæ×¡ÁËÁ³ÅÓ Et j¡¯ai pleure
È»ºó£¬ÎÒµÄÑÛÀáÁ÷ÁËÏÂÀ´
Bonne justice ÃÀÀöµÄÕýÒå Paul Eluard ±£¶û?°¬ÂÀÑÅ
C'est la chaude loi des hommes
ÕâÊÇÈËÀàÎÂůµÄ·¨Ôò Du raisin ils font du vin ÆÏÌÑÄðÔìÆÏÌѾÆ
Du charbon ils font du feu ʯ̿ȼÉճɻð
Des baisers ils font des hommes ½ÓÎÇ´´ÔìÈËÀà
C'est la dure loi des hommes ÕâÊÇÈËÀà²Ð¿áµÄ·¨Ôò Se garder intact malgr¨¦ ÈËÀà±£»¤×Ô¼º
Les guerres et la mis¨¨re ¼´Ê¹Õ½ÕùºÍ±¯¾ç·¢Éú
Malgr¨¦ les dangers de mort ¼´Ê¹ÉíÏݾø¾³
C'est la douce loi des hommes ÕâÊÇÈËÀàÎÂÈáµÄ·¨Ôò
De changer l'eau en lumi¨¨re ½«Ë®±ä³É¹â Le r¨ºve en r¨¦alit¨¦ ½«ÃÎÏë±ä³ÉÏÖʵ
Et les ennemis en fr¨¨res ½«µÐÈ˱ä³Éͬ°é
Une loi vieille et nouvelle ÕâÊǹÅÀ϶øÓÖոеķ¨ÂÉ Qui va se perfectionnant
Ëü²»¶ÏÍêÉÆ×Ô¼º
Du fond du c?ur de l'enfant ´Óº¢×ÓµÄÐĵ×
Jusqu'¨¤ la raison supr¨ºme. µ½×î¸ßµÄÀíÐÔ
Les feuilles mortes ÂäÒ¶
Jaques Pr¨¦vert ÑÅ¿Ë?ÆÕÀ×ά¶û
Oh, je voudrais tant que tu te souviennes °¡£¡ÎÒ¶àôϣÍûÄãÄÜÏëÆð
Des jours heureux o¨´ nous ¨¦tions amis. ÄÇЩÎÒÃÇÔø¾Ç×ÃܵÄÐÒ¸£ÈÕ×Ó
En ce temps-l¨¤ la vie ¨¦tait plus belle ÄÇʱºòµÄÈËÉúÊǶàôÃÀºÃ
Et le soleil plus br?lant qu'aujourd'hui. Á¬Ñô¹â¶¼±È½ñÌ콿ÑÞ
Les feuilles mortes se ramassent ¨¤ la pelle. ¿ÝÒ¶¾Û£ÔÚ²ù×ÓÉÏ
Tu vois, je n'ai pas les oubli¨¦
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Les feuilles mortes se ramassent ¨¤ la pelle. ¿ÝÒ¶¾ÛÁýÔÚ²ù×ÓÉÏ
Les souvenirs et les regrets aussi »ØÒäÓë»ÚºÞÒ²ÊÇ
Et le vent du nord les emporte ±±·ç½«ËüÃÇ´ø×ß
Dans la nuit froide de l'oubli. ÔÚÎÞÈËÖªÏþµÄº®Ò¹Àï
Tu vois, je n'ai pas les oubli¨¦ ÄãÇÆ£¬ÎÒûÓÐÍü¼Ç
La chanson que tu me chantais. ÄÇÊ×ÄãÔø¶ÔÎÒ³ª¹ýµÄ¸è
C'est une chanson qui nous ressemble. ÕâÊÇÒ»Ê׿áËÆÎÒÁ©µÄ¸èÇú
Toi, tu m'aimais et je t'aimais Ä㣬ÄãÔø°®×ÅÎÒ£¬ÎÒÔø°®×ÅÄã
Et nous vivions tous les deux ensemble, ÎÒÃÇÁ½¸öÒ»ÆðÉú»î
Toi qui m'aimais, moi qui t'aimais. ÄãÔø°®×ÅÎÒ£¬ÎÒÔø°®×ÅŠ…